Pression des parties prenantes pour plus d'actions écologiques : un risque environnemental et climatique pour votre entreprise
SWOT : Risques environnementaux et climatiques
Définition du risque : pression des parties prenantes pour plus d’actions écologiques
Le risque lié à la pression des parties prenantes pour plus d'actions écologiques désigne l'incitation croissante, tant interne qu'externe, exercée sur une entreprise pour adopter des pratiques plus durables et respectueuses de l'environnement. Ce phénomène est particulièrement visible dans un contexte où les enjeux environnementaux deviennent de plus en plus centraux dans les préoccupations des consommateurs, des actionnaires, des régulateurs, ainsi que de la société en général. Les parties prenantes, telles que les clients, les employés, les investisseurs, les ONG, et les autorités gouvernementales, attendent de plus en plus des entreprises qu'elles mettent en œuvre des politiques de responsabilité sociétale et environnementale, notamment en matière de réduction de l’empreinte carbone, de gestion des déchets, de respect de la biodiversité et d’utilisation des ressources naturelles.
Ce risque peut s’appliquer à tout type d’entreprise, bien qu'il soit plus marqué dans les secteurs à fort impact environnemental, tels que l'industrie pétrolière, la construction, l'agriculture, la chimie, et la production énergétique. Les entreprises qui n'intègrent pas de manière proactive les enjeux écologiques dans leur stratégie peuvent se retrouver face à des critiques publiques, des boycotts de consommateurs, des désinvestissements de la part des actionnaires, ou même à des sanctions réglementaires, pouvant nuire à leur réputation, leur performance économique, voire à leur viabilité à long terme.
L’impact d’un logiciel CRM sur ce risque
La configuration et l’utilisation d’un logiciel CRM (Customer Relationship Management) peuvent avoir un impact significatif sur ce risque, tant pour son aggravation que pour sa gestion. Un CRM est conçu pour gérer les relations avec les clients et les parties prenantes, centraliser les informations relatives à la clientèle, et améliorer la communication et la fidélisation. Cependant, une mauvaise configuration ou une mauvaise utilisation de cet outil pourrait aggraver la pression des parties prenantes si l’entreprise ne prend pas en compte les attentes écologiques de ses parties prenantes ou si elle ne répond pas de manière proactive à leurs demandes. Par exemple, un CRM mal configuré pourrait ne pas permettre un suivi efficace des initiatives écologiques ou ne pas centraliser les retours des clients et parties prenantes concernant la durabilité des produits et services.
À l’inverse, une configuration optimale d’un CRM, associée à une utilisation proactive de cet outil, peut être un levier puissant pour répondre aux pressions écologiques. En effet, un CRM bien conçu peut permettre à une entreprise de mieux comprendre les attentes écologiques de ses parties prenantes en collectant des données relatives aux préférences et aux préoccupations environnementales des clients, ainsi qu’aux exigences des actionnaires et des régulateurs. Grâce à ces informations, l’entreprise peut ajuster ses offres, améliorer sa communication et, éventuellement, s’engager sur des pratiques plus durables.
Comment un CRM peut aider à mieux contrôler ce risque
Une fois que le risque de pression des parties prenantes est identifié, l’utilisation d’un logiciel CRM permet de mieux le contrôler, voire de le réduire, en facilitant plusieurs actions stratégiques.
Tout d’abord, un CRM bien configuré peut permettre de suivre en temps réel les interactions avec les clients et les parties prenantes sur les sujets écologiques. Par exemple, les retours clients concernant les produits écologiques, les actions sociales de l’entreprise, ou les attentes en matière de développement durable peuvent être systématiquement enregistrés et analysés. Cela permet à l'entreprise de mieux comprendre les priorités environnementales de ses clients et d'adapter son offre pour répondre aux demandes croissantes en matière de responsabilité écologique.
De plus, un CRM peut aider une entreprise à gérer ses actions écologiques de manière plus cohérente et coordonnée. Par exemple, l'entreprise peut utiliser le CRM pour suivre l'avancement de ses initiatives écologiques, telles que la réduction des émissions de CO2, l'utilisation de matériaux recyclés ou la gestion durable des ressources. Le CRM peut aussi être utilisé pour planifier des campagnes de communication ou des actions de marketing mettant en avant les initiatives écologiques de l'entreprise, afin de répondre directement aux attentes des consommateurs et des autres parties prenantes.
Un autre avantage d’un CRM bien configuré est qu’il peut aider à la gestion des relations avec les investisseurs et les actionnaires. De nombreux investisseurs, notamment ceux qui suivent des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance), sont de plus en plus intéressés par les performances écologiques des entreprises dans lesquelles ils investissent. Grâce à un CRM, une entreprise peut centraliser les rapports et les informations sur ses actions en matière de durabilité, ce qui facilite la communication transparente et la prise de décision pour les actionnaires.
En somme, un logiciel CRM bien configuré peut jouer un rôle clé dans la gestion proactive des attentes écologiques des parties prenantes. En centralisant et en organisant les données pertinentes, en permettant un suivi efficace des actions écologiques de l'entreprise et en améliorant la communication avec les parties prenantes, le CRM peut être un levier essentiel pour réduire le risque de pression liée à l’écologie et renforcer l’engagement environnemental de l’entreprise.
Conclusion
Le risque lié à la pression des parties prenantes pour plus d'actions écologiques est devenu un enjeu majeur pour les entreprises de tous secteurs. Ce risque peut avoir des conséquences importantes sur la réputation de l'entreprise et sa pérennité si elle ne répond pas adéquatement aux attentes croissantes en matière de durabilité. L’utilisation d’un logiciel CRM bien configuré peut permettre de mieux gérer ce risque, en offrant une meilleure visibilité sur les attentes écologiques des parties prenantes, en facilitant la mise en œuvre des initiatives écologiques, et en améliorant la communication avec les clients et les actionnaires. En intégrant les exigences écologiques dans sa stratégie de gestion de la relation client, l'entreprise peut ainsi réduire la pression exercée par ses parties prenantes et transformer cette contrainte en une opportunité de développement durable et de fidélisation.
Comment gagner du temps
avec votre Simple CRM ?
La puissance de l'IA au service de votre entreprise.

Auto saisie des adresses et géolocalisation
Les adresses s'écrivent d'elles-mêmes et la géolocalisation calcule vos trajets et évite les embouteillages.

Détection de clients automatiques par une IA
Une IA capable de détecter des clients potentiels qu'elle propose directement à vos commerciaux.

Rapports intelligents faciles à utiliser
BI, Small et Big Data Mining, Reporting: le tout sans aucune connaissance technique.

Génération automatique des e-mails
Vos e-mails s’écrivent automatiquement, directement dans Outlook, Gmail, Thunderbird…

Reconnaissance et aide vocale
Vous parlez: Simple CRM écrit. Vous lui donnez des ordres: Simple CRM exécute.

Rédaction automatique des documents
Word, Excel ou Power Point rédigent en un clic vos contrats et autres documents.
Associer Simple CRM à vos outils actuels = facilité + productivité

[ En savoir plus sur les connecteurs CRM ]




Bénéficiez d'un financement
pour votre projet de croissance CRM
de 3 à 5 ans
En savoir plus
- Absence de culture d’entreprise forte
- Accidents du travail
- Amendes pour violation des lois anti-corruption
- Attaques DDoS (attaque par déni de service)
- Bad buzz ou campagne négative sur les réseaux sociaux
- Baisse de la demande pour des raisons économiques (récession)
- Barrières à l’entrée sur de nouveaux marchés
- Boycott des produits ou services
- Burnout ou épuisement professionnel des équipes
- Catastrophes naturelles
- Changement brutal dans le secteur d’activité
- Changement des taux d'intérêt
- Changements climatiques affectant l'approvisionnement
- Concurrence agressive (guerre des prix, marketing agressif)
- Conflit d’intérêts au niveau de la direction
- Conflits entre salariés
- Coup d'État
- Crises de l'eau potable
- Crise financière internationale
- Crises diplomatiques influençant le commerce
- Cyberattaques (ransomware, phishing)
- Déception des investisseurs
- Défaillance dans la gestion des droits d’auteur
- Défaillance d'un investisseur
- Défauts de cybersécurité
- Dépendance à un seul gros client
- Dépendance excessive à une technologie particulière
- Dépendance excessive vis-à-vis de fournisseurs uniques
- Désastres liés aux produits chimiques dangereux
- Dévaluation monétaire soudaine
- Diversification excessive
- Dysfonctionnement des équipements
- Échec d’une augmentation de capital
- Échec de l'intégration des nouveaux employés
- Échec de partenariat stratégique
- Épuisement des ressources naturelles
- Erreur de gestion fiscale
- Erreurs dans la gestion des approvisionnements
- Erreurs humaines répétées
- Évènements extrêmes perturbant les chaînes logistiques
- Évolution rapide des préférences des consommateurs
- Failles de sécurité dans les systèmes critiques
- Fluctuation des matières premières
- Fraude interne (malversation, détournement de fonds)
- Fuites ou contamination toxiques
- Fusion-acquisition mal exécutée
- Guerres ou conflits armés
- Harcèlement au travail (moral ou sexuel)
- Hausse des coûts des matières premières due à des conflits
- Hausse du prix des matières premières liées aux crises climatiques
- Imposition de nouvelles taxes sur les importations/exportations
- Incidents de production (pannes, accidents)
- Inflation non anticipée
- Inflation ou hyperinflation
- Infraction à la législation sur la concurrence
- Inondations
- Instabilité politique (changements de gouvernements)
- Instabilité sociale (manifestations, grèves)
- Intégration de nouvelles technologies mal gérée
- Lancement d’un produit non adapté au marché
- Litiges avec des employés (harcèlement, licenciement abusif)
- Litiges avec les fournisseurs
- Logiciels obsolètes
- Malfaçons dans les produits
- Manque de conformité aux réglementations GDPR - RGPD (protection des données)
- Manque de diversité et inclusion
- Manque de formation des opérateurs
- Manque de maintenance préventive
- Manque de mises à jour des systèmes de sécurité
- Manque de vision à long terme
- Mauvaise analyse de la concurrence
- Mauvaise anticipation des tendances du marché
- Mauvaise communication interne
- Mauvaise expansion internationale
- Mauvaise gestion de la marque
- Mauvaise gestion de la relation client
- Mauvaise gestion des brevets ou marques déposées
- Mauvaise gestion des contrats
- Mauvaise gestion des crédits clients
- Mauvaise gestion des liquidités
- Mauvaise gestion des plaintes clients
- Mauvaise gestion des relations avec les parties prenantes
- Mauvaise gestion des talents
- Mauvaise gestion des transports
- Mauvaise gestion de l'intelligence artificielle
- Mauvaise gestion de l'infrastructure cloud
- Mauvaise planification des ressources
- Mauvaise politique de dividendes
- Mauvaise prévision des flux de trésorerie
- Mauvaise prise de décision stratégique
- Mauvais remboursement des créances
- Nationalisations dans certains pays
- Non-adaptation à l’évolution des besoins des clients
- Non-adaptation aux nouveaux modes de consommation (digitalisation)
- Non-conformité aux normes de sécurité au travail
- Non-conformité avec les normes d’hygiène et de sécurité
- Non-respect des délais de production
- Non-respect des normes environnementales
- Non-respect des obligations de santé et sécurité au travail
- Non-respect des réglementations locales/internationales
- Non-transparence des actions de l’entreprise
- Pandémies (comme la COVID-19)
- Pannes de systèmes informatiques
- Perte de clients majeurs
- Perte de collaborateurs clés
- Perte de confiance des clients
- Perte de la confidentialité des informations clients
- Perte de parts de marché
- Pertes de données non sauvegardées
- Pertes en bourse
- Piratage de données sensibles
- Plainte pour violation de la propriété intellectuelle
- Pollution environnementale causée par l'entreprise
- Poursuites judiciaires (litiges commerciaux)
- Pression des parties prenantes pour plus d'actions écologiques
- Problèmes de compatibilité entre systèmes
- Problèmes éthiques dans la gestion de la relation client
- Produits défectueux sur le marché
- Publicité mensongère
- Recours à des emprunts toxiques (prêts à taux variable, etc.)
- Recrutement inadéquat
- Réputation ternie par des pratiques non durables
- Restrictions à la mobilité internationale
- Retard dans le dépôt des documents légaux
- Retards dans les livraisons
- RH qui résiste au changement
- Risque de canibalisation des ventes
- Risque de change (pour les entreprises internationales)
- Risque de mise en faillite
- Risque de rupture technologique (disruption du secteur)
- Risque d’insatisfaction des clients
- Risque d’obsolescence des compétences clés
- Mauvaise gestion des stocks
- Risques liés à l’externalisation excessive de la production
- Risques liés aux cryptomonnaies
- Sanctions économiques (embargos, restrictions commerciales)
- Saturation du marché
- Scandale public (fraude, scandale moral, etc.)
- Séismes
- Surcharge de travail des équipes
- Surendettement
- Tempêtes, ouragans
- Turnover élevé
- Utilisation de technologies non certifiées
- Utilisation inappropriée des équipements
- Variation des taux de change
- Virus informatique ou malware
- Volatilité des marchés financiers
- Volonté excessive de maximisation des profits à court terme