Évènements extrêmes perturbant les chaînes logistiques : un risque environnemental et climatique pour votre entreprise
SWOT : Risques environnementaux et climatiques
Définition du risque des événements extrêmes perturbant les chaînes logistiques
Les événements climatiques extrêmes, tels que les tempêtes, les inondations, les sécheresses, les vagues de chaleur, ou encore les incendies de grande ampleur, représentent des risques considérables pour les chaînes logistiques des entreprises. Ces phénomènes peuvent interrompre les activités de production, perturber le transport des biens, endommager les infrastructures de stockage, ou encore créer des pénuries de matières premières. En conséquence, les entreprises peuvent se retrouver dans l’incapacité de remplir leurs engagements envers leurs clients, ce qui peut entraîner des pertes financières, une mauvaise réputation, et une perte de compétitivité.
Les entreprises les plus vulnérables à ce type de risque sont celles dont les chaînes logistiques dépendent fortement des infrastructures de transport, comme les ports, les routes, et les lignes ferroviaires, ainsi que celles qui s’appuient sur des ressources naturelles spécifiques ou sur des fournisseurs dans des zones géographiques sujettes à des événements climatiques extrêmes. Il s’agit notamment des entreprises du secteur de l’agriculture, de l’industrie, de la construction, et de la distribution, qui doivent régulièrement gérer l’acheminement de matières premières ou de produits finis à travers des réseaux de transport complexes.
Impact d’un logiciel CRM sur la gestion de ce risque
L’utilisation d’un logiciel CRM (Customer Relationship Management) peut avoir un impact indirect mais déterminant sur la gestion du risque lié aux événements extrêmes perturbant les chaînes logistiques. Un CRM est un outil qui permet de centraliser les informations sur les relations avec les clients, les prospects, ainsi que les partenaires commerciaux et fournisseurs. Une mauvaise configuration ou une utilisation inappropriée d’un CRM peut accentuer ce risque. En effet, un CRM mal intégré à d'autres systèmes de gestion, notamment ceux relatifs à la gestion des stocks ou de la chaîne d'approvisionnement, pourrait empêcher une entreprise de repérer les perturbations dans les délais, les coûts ou les volumes de livraison. Par exemple, des informations sur des événements climatiques ou des perturbations dans les transports pourraient ne pas être communiquées en temps réel, empêchant ainsi l’entreprise de réagir rapidement.
En revanche, une configuration et une utilisation appropriées d’un CRM permettent de réduire considérablement ce risque. Un CRM bien conçu peut être intégré avec des outils de gestion de la chaîne d’approvisionnement et de suivi logistique. Par exemple, il peut être lié à des sources externes de données météorologiques ou à des plateformes de suivi des événements climatiques, afin d’alerter les responsables logistiques sur des risques imminents pour la chaîne d'approvisionnement. De cette manière, l'entreprise peut ajuster rapidement ses plans de transport, reprogrammer les livraisons ou activer des solutions alternatives en cas de perturbation due à un événement extrême.
Contrôle du risque avec un CRM
L’utilisation d’un CRM permet de mieux contrôler le risque lié aux événements extrêmes perturbant les chaînes logistiques de plusieurs manières. Un CRM performant, s'il est bien configuré pour intégrer les informations en temps réel concernant les conditions météorologiques ou les disruptions logistiques, peut fournir une visibilité complète sur les vulnérabilités de la chaîne d'approvisionnement. En cas d'événement extrême, il peut générer des alertes ou des notifications pour les responsables de la chaîne logistique afin de leur permettre de réagir rapidement. Par exemple, si un ouragan menace une région où un fournisseur clé se trouve, le CRM peut notifier les gestionnaires de la chaîne d'approvisionnement afin qu’ils puissent activer des plans de secours, comme diversifier les sources d’approvisionnement ou rerouter les livraisons.
Le CRM peut aussi faciliter la communication et la collaboration avec les fournisseurs et les transporteurs. En cas de perturbation dans la chaîne logistique, le CRM permet à l'entreprise de maintenir une communication fluide avec tous les acteurs impliqués, d’ajuster les délais de livraison et de coordonner les efforts pour minimiser l'impact de l'événement extrême. En outre, grâce à un CRM bien configuré, les entreprises peuvent avoir une vision précise des performances des fournisseurs et des partenaires logistiques, leur permettant ainsi de choisir ceux qui sont mieux préparés à faire face à des situations extrêmes. Cette transparence dans la gestion des relations avec les fournisseurs peut renforcer la résilience de l'entreprise face aux perturbations.
De plus, un CRM peut intégrer des données historiques sur les perturbations passées liées aux événements extrêmes, offrant ainsi un outil d’analyse pour mieux prévoir les risques futurs. L'entreprise peut alors adapter sa stratégie de gestion des risques, revoir ses contrats avec les fournisseurs, ou encore développer des solutions de logistique flexibles qui tiennent compte de la variabilité des conditions climatiques.
Conclusion
Les événements climatiques extrêmes perturbant les chaînes logistiques représentent un risque stratégique majeur pour de nombreuses entreprises, particulièrement celles ayant des chaînes d’approvisionnement mondiales ou des dépendances fortes à des infrastructures de transport vulnérables aux intempéries. L’utilisation d’un logiciel CRM, correctement configuré et intégré avec des outils de gestion de la chaîne d’approvisionnement, peut aider à atténuer ce risque en améliorant la réactivité et la coordination au sein de l’entreprise. En offrant une visibilité en temps réel sur les conditions climatiques et les perturbations logistiques, le CRM permet d’anticiper les risques, d’adapter les stratégies d'approvisionnement et de maintenir une communication fluide avec les clients et fournisseurs. Par conséquent, une gestion proactive et une bonne utilisation des technologies CRM peuvent jouer un rôle clé dans la résilience d’une entreprise face aux événements extrêmes affectant ses chaînes logistiques.
Comment gagner du temps
avec votre Simple CRM ?
La puissance de l'IA au service de votre entreprise.

Auto saisie des adresses et géolocalisation
Les adresses s'écrivent d'elles-mêmes et la géolocalisation calcule vos trajets et évite les embouteillages.

Détection de clients automatiques par une IA
Une IA capable de détecter des clients potentiels qu'elle propose directement à vos commerciaux.

Rapports intelligents faciles à utiliser
BI, Small et Big Data Mining, Reporting: le tout sans aucune connaissance technique.

Génération automatique des e-mails
Vos e-mails s’écrivent automatiquement, directement dans Outlook, Gmail, Thunderbird…

Reconnaissance et aide vocale
Vous parlez: Simple CRM écrit. Vous lui donnez des ordres: Simple CRM exécute.

Rédaction automatique des documents
Word, Excel ou Power Point rédigent en un clic vos contrats et autres documents.
Associer Simple CRM à vos outils actuels = facilité + productivité

[ En savoir plus sur les connecteurs CRM ]




Bénéficiez d'un financement
pour votre projet de croissance CRM
de 3 à 5 ans
En savoir plus
- Erreurs humaines répétées
- Mauvaise gestion des stocks
- Dysfonctionnement des équipements
- Non-respect des délais de production
- Erreurs dans la gestion des approvisionnements
- Incidents de production (pannes, accidents)
- Utilisation inappropriée des équipements
- Manque de maintenance préventive
- Mauvaise planification des ressources
- Manque de formation des opérateurs
- Dépendance excessive vis-à-vis de fournisseurs uniques
- Retards dans les livraisons
- Malfaçons dans les produits
- Mauvaise gestion des transports
- Risques liés à l’externalisation excessive de la production
- Mauvaise gestion des liquidités
- Surendettement
- Fraude interne (malversation, détournement de fonds)
- Volonté excessive de maximisation des profits à court terme
- Échec d’une augmentation de capital
- Pertes en bourse
- Changement des taux d'intérêt
- Risque de change (pour les entreprises internationales)
- Défaillance d'un investisseur
- Risques liés aux cryptomonnaies
- Mauvaise gestion des crédits clients
- Variation des taux de change
- Mauvais remboursement des créances
- Recours à des emprunts toxiques (prêts à taux variable, etc.)
- Erreur de gestion fiscale
- Mauvaise prévision des flux de trésorerie
- Inflation non anticipée
- Fluctuation des matières premières
- Volatilité des marchés financiers
- Mauvaise politique de dividendes
- Pannes de systèmes informatiques
- Cyberattaques (ransomware, phishing)
- Piratage de données sensibles
- Logiciels obsolètes
- Pertes de données non sauvegardées
- Défauts de cybersécurité
- Intégration de nouvelles technologies mal gérée
- Dépendance excessive à une technologie particulière
- Problèmes de compatibilité entre systèmes
- Virus informatique ou malware
- Mauvaise gestion de l'infrastructure cloud
- Attaques DDoS (attaque par déni de service)
- Failles de sécurité dans les systèmes critiques
- Utilisation de technologies non certifiées
- Manque de mises à jour des systèmes de sécurité
- Perte de la confidentialité des informations clients
- Mauvaise gestion de l'intelligence artificielle
- Non-respect des réglementations locales/internationales
- Litiges avec les fournisseurs
- Non-respect des normes environnementales
- Plainte pour violation de la propriété intellectuelle
- Amendes pour violation des lois anti-corruption
- Non-conformité aux normes de sécurité au travail
- Manque de conformité aux réglementations GDPR - RGPD (protection des données)
- Poursuites judiciaires (litiges commerciaux)
- Non-conformité avec les normes d’hygiène et de sécurité
- Retard dans le dépôt des documents légaux
- Mauvaise gestion des contrats
- Litiges avec des employés (harcèlement, licenciement abusif)
- Risque de mise en faillite
- Défaillance dans la gestion des droits d’auteur
- Infraction à la législation sur la concurrence
- Mauvaise gestion des brevets ou marques déposées
- Turnover élevé
- Burnout ou épuisement professionnel des équipes
- Conflits entre salariés
- Mauvaise gestion des talents
- Recrutement inadéquat
- Harcèlement au travail (moral ou sexuel)
- Perte de collaborateurs clés
- Non-respect des obligations de santé et sécurité au travail
- Accidents du travail
- Manque de diversité et inclusion
- Échec de l'intégration des nouveaux employés
- Absence de culture d’entreprise forte
- Surcharge de travail des équipes
- Mauvaise communication interne
- RH qui résiste au changement
- Inondations
- Tempêtes, ouragans
- Séismes
- Pandémies (comme la COVID-19)
- Hausse du prix des matières premières liées aux crises climatiques
- Catastrophes naturelles
- Pollution environnementale causée par l'entreprise
- Épuisement des ressources naturelles
- Changements climatiques affectant l'approvisionnement
- Évènements extrêmes perturbant les chaînes logistiques
- Fuites ou contamination toxiques
- Pression des parties prenantes pour plus d'actions écologiques
- Crises de l'eau potable
- Désastres liés aux produits chimiques dangereux
- Mauvaise prise de décision stratégique
- Lancement d’un produit non adapté au marché
- Mauvaise analyse de la concurrence
- Non-adaptation à l’évolution des besoins des clients
- Échec de partenariat stratégique
- Diversification excessive
- Conflit d’intérêts au niveau de la direction
- Manque de vision à long terme
- Changement brutal dans le secteur d’activité
- Fusion-acquisition mal exécutée
- Mauvaise expansion internationale
- Mauvaise gestion des relations avec les parties prenantes
- Mauvaise gestion de la marque
- Risque de rupture technologique (disruption du secteur)
- Mauvaise anticipation des tendances du marché
- Risque d’obsolescence des compétences clés
- Bad buzz ou campagne négative sur les réseaux sociaux
- Scandale public (fraude, scandale moral, etc.)
- Produits défectueux sur le marché
- Mauvaise gestion des plaintes clients
- Non-transparence des actions de l’entreprise
- Problèmes éthiques dans la gestion de la relation client
- Déception des investisseurs
- Boycott des produits ou services
- Publicité mensongère
- Perte de confiance des clients
- Réputation ternie par des pratiques non durables