Utilisation de technologies non certifiées : un risque technologique pour votre entreprise
SWOT : Risques technologiques
Le risque lié à l’utilisation de technologies non certifiées
L’utilisation de technologies non certifiées représente un risque technologique important. Ces technologies, souvent développées ou utilisées en dehors des normes ou des cadres réglementaires en vigueur, peuvent présenter des lacunes en matière de sécurité, de fiabilité ou de compatibilité. Elles ne bénéficient pas des garanties de conformité exigées par les autorités ou les organismes de normalisation, ce qui peut exposer les entreprises à des cyberattaques, des pannes techniques ou des sanctions juridiques.
Ce risque s’applique particulièrement aux entreprises opérant dans des secteurs réglementés tels que la santé, la finance ou les industries critiques. Ces organisations sont soumises à des exigences strictes concernant la conformité de leurs outils technologiques, afin de garantir la protection des données sensibles et la continuité des services. Cependant, les entreprises plus petites ou innovantes, comme les start-ups technologiques, peuvent aussi être affectées lorsqu’elles adoptent des solutions non certifiées pour réduire les coûts ou accélérer le développement de leurs activités. Cela peut entraîner des problèmes à long terme, notamment en termes de sécurité et de conformité légale.
Impact de la configuration et de l’utilisation d’un CRM sur ce risque
Un logiciel CRM, bien que largement utilisé, peut soit atténuer, soit amplifier les risques liés à l’utilisation de technologies non certifiées. Un CRM intégré ou interconnecté à des technologies non certifiées peut hériter des vulnérabilités ou des problèmes de compatibilité de ces dernières. Par exemple, si un CRM échange des données avec une application tierce non conforme aux normes de sécurité, ces données peuvent être exposées à des interceptions ou des pertes. De même, un CRM qui n’est pas lui-même certifié ou conforme aux standards internationaux (tels que la norme ISO 27001 pour la gestion de la sécurité de l’information) peut être perçu comme un point faible dans l’infrastructure technologique de l’entreprise.
En revanche, un CRM bien configuré et conforme peut réduire ce risque de plusieurs façons. En utilisant uniquement des intégrations approuvées et certifiées, l’entreprise s’assure que ses processus critiques respectent les normes en vigueur. Par ailleurs, un CRM qui intègre des contrôles de sécurité robustes, comme le chiffrement des données ou l’audit des accès, peut limiter les impacts négatifs d’une technologie non certifiée présente dans l’écosystème de l’entreprise. Enfin, en fournissant des outils pour centraliser et standardiser les processus, le CRM peut réduire la dépendance à des solutions improvisées ou non certifiées.
Contrôle du risque en cas d’utilisation de technologies non certifiées
Une fois qu’une entreprise est confrontée à ce risque, un CRM peut jouer un rôle clé dans la gestion et le contrôle de la situation. Tout d’abord, un CRM centralise les informations critiques, ce qui permet d’identifier rapidement les points de contact avec les technologies non certifiées. Par exemple, si des flux de données sensibles transitent via une application ou une API non conforme, le CRM peut servir de base pour cartographier ces échanges et prendre les mesures nécessaires pour sécuriser les processus.
Ensuite, le CRM peut contribuer à limiter l’utilisation non contrôlée de technologies non certifiées au sein de l’entreprise. Grâce à ses capacités de gestion des droits d’accès et de segmentation des données, il peut restreindre les interactions avec ces technologies aux utilisateurs ou aux systèmes strictement nécessaires. Cela permet de minimiser l’exposition aux failles potentielles tout en poursuivant les opérations.
Enfin, un CRM bien géré facilite la transition vers des solutions certifiées. En offrant une vue globale sur les processus et les outils intégrés, il aide à prioriser les remplacements ou les mises à niveau nécessaires pour se conformer aux exigences légales et aux normes industrielles. Par exemple, si une application non certifiée utilisée pour l’analyse de données doit être remplacée, un CRM centralisé peut permettre de continuer à gérer les interactions clients sans interruption majeure.
Conclusion
Le risque d’utilisation de technologies non certifiées illustre l’importance de la conformité dans la gestion des systèmes critiques. Les entreprises, qu’elles soient grandes ou petites, doivent être conscientes des implications techniques, légales et sécuritaires liées à ces outils. Dans ce contexte, un logiciel CRM peut jouer un rôle ambivalent. Mal configuré ou intégré à des technologies non certifiées, il peut aggraver les vulnérabilités. En revanche, utilisé correctement, il devient un levier essentiel pour sécuriser les processus, identifier les points faibles et planifier une transition vers des solutions certifiées. Ce rôle stratégique en fait un outil clé dans la réduction des risques technologiques associés à des choix technologiques non conformes.
Comment gagner du temps
avec votre Simple CRM ?
La puissance de l'IA au service de votre entreprise.

Auto saisie des adresses et géolocalisation
Les adresses s'écrivent d'elles-mêmes et la géolocalisation calcule vos trajets et évite les embouteillages.

Détection de clients automatiques par une IA
Une IA capable de détecter des clients potentiels qu'elle propose directement à vos commerciaux.

Rapports intelligents faciles à utiliser
BI, Small et Big Data Mining, Reporting: le tout sans aucune connaissance technique.

Génération automatique des e-mails
Vos e-mails s’écrivent automatiquement, directement dans Outlook, Gmail, Thunderbird…

Reconnaissance et aide vocale
Vous parlez: Simple CRM écrit. Vous lui donnez des ordres: Simple CRM exécute.

Rédaction automatique des documents
Word, Excel ou Power Point rédigent en un clic vos contrats et autres documents.
Associer Simple CRM à vos outils actuels = facilité + productivité

[ En savoir plus sur les connecteurs CRM ]




Bénéficiez d'un financement
pour votre projet de croissance CRM
de 3 à 5 ans
En savoir plus
- Erreurs humaines répétées
- Mauvaise gestion des stocks
- Dysfonctionnement des équipements
- Non-respect des délais de production
- Erreurs dans la gestion des approvisionnements
- Incidents de production (pannes, accidents)
- Utilisation inappropriée des équipements
- Manque de maintenance préventive
- Mauvaise planification des ressources
- Manque de formation des opérateurs
- Dépendance excessive vis-à-vis de fournisseurs uniques
- Retards dans les livraisons
- Malfaçons dans les produits
- Mauvaise gestion des transports
- Risques liés à l’externalisation excessive de la production
- Mauvaise gestion des liquidités
- Surendettement
- Fraude interne (malversation, détournement de fonds)
- Volonté excessive de maximisation des profits à court terme
- Échec d’une augmentation de capital
- Pertes en bourse
- Changement des taux d'intérêt
- Risque de change (pour les entreprises internationales)
- Défaillance d'un investisseur
- Risques liés aux cryptomonnaies
- Mauvaise gestion des crédits clients
- Variation des taux de change
- Mauvais remboursement des créances
- Recours à des emprunts toxiques (prêts à taux variable, etc.)
- Erreur de gestion fiscale
- Mauvaise prévision des flux de trésorerie
- Inflation non anticipée
- Fluctuation des matières premières
- Volatilité des marchés financiers
- Mauvaise politique de dividendes
- Pannes de systèmes informatiques
- Cyberattaques (ransomware, phishing)
- Piratage de données sensibles
- Logiciels obsolètes
- Pertes de données non sauvegardées
- Défauts de cybersécurité
- Intégration de nouvelles technologies mal gérée
- Dépendance excessive à une technologie particulière
- Problèmes de compatibilité entre systèmes
- Virus informatique ou malware
- Mauvaise gestion de l'infrastructure cloud
- Attaques DDoS (attaque par déni de service)
- Failles de sécurité dans les systèmes critiques
- Utilisation de technologies non certifiées
- Manque de mises à jour des systèmes de sécurité
- Perte de la confidentialité des informations clients
- Mauvaise gestion de l'intelligence artificielle
- Non-respect des réglementations locales/internationales
- Litiges avec les fournisseurs
- Non-respect des normes environnementales
- Plainte pour violation de la propriété intellectuelle
- Amendes pour violation des lois anti-corruption
- Non-conformité aux normes de sécurité au travail
- Manque de conformité aux réglementations GDPR - RGPD (protection des données)
- Poursuites judiciaires (litiges commerciaux)
- Non-conformité avec les normes d’hygiène et de sécurité
- Retard dans le dépôt des documents légaux
- Mauvaise gestion des contrats
- Litiges avec des employés (harcèlement, licenciement abusif)
- Risque de mise en faillite
- Défaillance dans la gestion des droits d’auteur
- Infraction à la législation sur la concurrence
- Mauvaise gestion des brevets ou marques déposées
- Turnover élevé
- Burnout ou épuisement professionnel des équipes
- Conflits entre salariés
- Mauvaise gestion des talents
- Recrutement inadéquat
- Harcèlement au travail (moral ou sexuel)
- Perte de collaborateurs clés
- Non-respect des obligations de santé et sécurité au travail
- Accidents du travail
- Manque de diversité et inclusion
- Échec de l'intégration des nouveaux employés
- Absence de culture d’entreprise forte
- Surcharge de travail des équipes
- Mauvaise communication interne
- RH qui résiste au changement
- Inondations
- Tempêtes, ouragans
- Séismes
- Pandémies (comme la COVID-19)
- Hausse du prix des matières premières liées aux crises climatiques
- Catastrophes naturelles
- Pollution environnementale causée par l'entreprise
- Épuisement des ressources naturelles
- Changements climatiques affectant l'approvisionnement
- Évènements extrêmes perturbant les chaînes logistiques
- Fuites ou contamination toxiques
- Pression des parties prenantes pour plus d'actions écologiques
- Crises de l'eau potable
- Désastres liés aux produits chimiques dangereux
- Mauvaise prise de décision stratégique
- Lancement d’un produit non adapté au marché
- Mauvaise analyse de la concurrence
- Non-adaptation à l’évolution des besoins des clients
- Échec de partenariat stratégique
- Diversification excessive
- Conflit d’intérêts au niveau de la direction
- Manque de vision à long terme
- Changement brutal dans le secteur d’activité
- Fusion-acquisition mal exécutée
- Mauvaise expansion internationale
- Mauvaise gestion des relations avec les parties prenantes
- Mauvaise gestion de la marque
- Risque de rupture technologique (disruption du secteur)
- Mauvaise anticipation des tendances du marché
- Risque d’obsolescence des compétences clés
- Bad buzz ou campagne négative sur les réseaux sociaux
- Scandale public (fraude, scandale moral, etc.)
- Produits défectueux sur le marché
- Mauvaise gestion des plaintes clients
- Non-transparence des actions de l’entreprise
- Problèmes éthiques dans la gestion de la relation client
- Déception des investisseurs
- Boycott des produits ou services
- Publicité mensongère
- Perte de confiance des clients
- Réputation ternie par des pratiques non durables