Hausse des coûts des matières premières due à des conflits : un risque géopolitique et macroéconomique
SWOT : Risques géopolitiques et macroéconomiques
Hausse des coûts des matières premières due à des conflits : gestion du risque et rôle du CRM
Définition du risque et profil des entreprises concernées
La hausse des coûts des matières premières due à des conflits fait référence à l'augmentation des prix des ressources naturelles ou des biens nécessaires à la production d'une entreprise, provoquée par des tensions géopolitiques ou des conflits armés. Les conflits peuvent perturber les chaînes d'approvisionnement mondiales, restreindre l'accès à certaines régions productrices, ou entraîner des sanctions économiques affectant le commerce international. Par exemple, un conflit dans une région riche en ressources énergétiques, comme le pétrole ou le gaz, peut provoquer une flambée des prix, impactant directement les entreprises qui en dépendent.
Ce risque s'applique principalement aux entreprises industrielles ou manufacturières dont les processus de production sont fortement basés sur des matières premières spécifiques. Les entreprises dans des secteurs comme l’automobile, l’aéronautique, la construction, ou les technologies, qui utilisent des métaux rares, des produits chimiques ou des hydrocarbures dans leurs processus de fabrication, sont particulièrement exposées à ce risque. En outre, les entreprises ayant des chaînes d'approvisionnement mondiales ou des relations commerciales avec des zones géographiques politiquement instables sont également vulnérables.
Impact d’une mauvaise gestion du CRM sur ce risque
Une mauvaise configuration ou une utilisation inefficace du CRM peut augmenter le risque lié à la hausse des coûts des matières premières. Si le CRM ne permet pas de suivre avec précision les fournisseurs, les contrats, les conditions de paiement, ou les fluctuations des prix des matières premières, l’entreprise risque de se retrouver mal préparée en cas de hausse brutale des coûts. Par exemple, si le système CRM ne permet pas d’avoir une vue d’ensemble sur l’historique des achats, les relations avec les fournisseurs ou la prévision des besoins en matières premières, l’entreprise risque de se retrouver dans une position défavorable pour négocier des prix compétitifs ou pour ajuster rapidement ses stratégies d'approvisionnement.
De plus, un CRM mal configuré pourrait entraîner une communication inefficace au sein de l’entreprise concernant l’évolution des coûts ou des fournisseurs, rendant ainsi plus difficile la prise de décisions stratégiques et la gestion des risques. La réactivité face à un conflit ou une crise liée aux matières premières serait alors affaiblie, ce qui expose l'entreprise à des hausses de coûts non anticipées et à des ruptures d'approvisionnement.
Impact d’une bonne gestion du CRM pour contrôler ce risque
À l’inverse, une bonne configuration et utilisation du CRM permet à l’entreprise de mieux contrôler ce risque. Un CRM bien conçu et correctement utilisé peut centraliser toutes les informations relatives aux fournisseurs, aux commandes et aux coûts des matières premières. Il permet à l’entreprise de surveiller en temps réel les fluctuations des prix et de maintenir une visibilité sur les stocks disponibles, ce qui est essentiel pour anticiper les hausses de coûts avant qu’elles n’affectent la rentabilité.
De plus, un CRM efficace permet une meilleure gestion des relations avec les fournisseurs. Par exemple, si une entreprise suit l’historique des prix et des délais de livraison dans son CRM, elle peut identifier plus rapidement les fournisseurs les plus fiables et ceux qui offrent les meilleures conditions d’achat. Lors d’un conflit géopolitique, l’entreprise pourrait ainsi ajuster ses contrats, négocier des prix plus compétitifs ou encore diversifier ses sources d’approvisionnement pour réduire sa dépendance à un fournisseur unique, ce qui lui permet de mieux se préparer à des augmentations de coûts imprévues.
Une gestion proactive de la relation fournisseur via un CRM intégré à une plateforme de gestion des achats ou de la chaîne d’approvisionnement permet également d’optimiser les coûts en anticipant les tendances du marché et en ajustant les stratégies d’approvisionnement en fonction des risques géopolitiques. Par exemple, en période de tensions géopolitiques, un CRM permet à une entreprise d’identifier les risques potentiels pour ses fournisseurs et de prendre des mesures d’atténuation, comme la recherche de nouveaux partenaires ou la négociation de contrats à long terme à prix fixes.
Enfin, un CRM performant permet de mieux prévoir les besoins futurs en matières premières en croisant les données des ventes, des prévisions de production et des tendances du marché. Cela permet à l’entreprise de passer des commandes plus ajustées et de limiter les effets de la volatilité des prix.
Conclusion
La hausse des coûts des matières premières en raison de conflits représente un risque significatif pour de nombreuses entreprises, notamment celles qui dépendent de ressources spécifiques et ont des chaînes d'approvisionnement internationales. Une mauvaise gestion de ce risque peut entraîner des perturbations majeures dans la production, des marges bénéficiaires réduites, ou même des pénuries de produits. Toutefois, un CRM bien configuré et utilisé de manière stratégique peut jouer un rôle déterminant dans la gestion proactive de ce risque. En centralisant les informations sur les fournisseurs, en permettant une analyse continue des fluctuations des prix, et en facilitant la gestion des relations avec les partenaires commerciaux, un CRM aide l’entreprise à anticiper et à atténuer l’impact des hausses imprévues des coûts des matières premières. Ainsi, cet outil devient un levier essentiel pour une gestion efficace des risques géopolitiques et économiques liés aux matières premières.
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