Mauvaise politique de dividendes : un risque financier pour votre entreprise
SWOT : Risques financiers
Le risque lié à une mauvaise politique de dividendes
La mauvaise politique de dividendes constitue un risque financier qui découle d'une gestion inappropriée des distributions de bénéfices aux actionnaires. Une telle politique peut se manifester de plusieurs façons : distribution excessive de dividendes, privant l’entreprise des ressources nécessaires pour financer sa croissance ou rembourser sa dette ; distribution insuffisante, frustrant les actionnaires et compromettant leur confiance ; ou encore absence de cohérence entre les dividendes versés et les performances réelles de l’entreprise. Ces erreurs peuvent avoir des répercussions importantes, comme la détérioration de la santé financière de l’entreprise, une baisse de la valeur de ses actions ou des tensions avec les investisseurs.
Ce risque concerne principalement les entreprises cotées en bourse ou celles ayant des investisseurs privés attentifs à la rentabilité de leur placement. Les grandes entreprises aux structures complexes, ainsi que les sociétés en forte croissance qui doivent jongler entre les attentes des actionnaires et leurs besoins d’investissement, sont particulièrement exposées. Par exemple, une entreprise en pleine expansion qui verse des dividendes élevés pour satisfaire ses actionnaires pourrait se priver des liquidités nécessaires pour financer des projets essentiels, mettant ainsi en péril sa compétitivité future.
L’influence d’un logiciel CRM sur ce risque
Un logiciel CRM n’est pas directement conçu pour gérer la politique de dividendes, mais sa configuration et son utilisation peuvent influencer indirectement ce risque en affectant la gestion des relations avec les parties prenantes, notamment les actionnaires clés et les investisseurs. Une mauvaise configuration ou un usage limité du CRM pourrait exacerber ce risque en empêchant une communication efficace ou en ne permettant pas de collecter et d’analyser les retours des parties prenantes. Par exemple, si le CRM ne centralise pas les interactions avec les actionnaires ou ne fournit pas d’outils pour comprendre leurs attentes, l’entreprise risque de mal évaluer leurs besoins et de prendre des décisions désalignées.
En revanche, un CRM bien configuré et intégré dans la gestion stratégique de l’entreprise peut contribuer à diminuer ce risque en favorisant une meilleure compréhension des attentes des actionnaires, en améliorant la communication et en facilitant une gestion proactive des relations.
Le rôle d’un CRM dans le contrôle du risque
Une fois que le risque lié à une mauvaise politique de dividendes se manifeste, un CRM bien utilisé peut aider l’entreprise à mieux le maîtriser. Tout d’abord, le CRM peut centraliser les interactions avec les actionnaires et les investisseurs, offrant une vue d’ensemble sur leurs préférences, leurs préoccupations et leur historique. Cette centralisation permet à l’entreprise de mieux anticiper les attentes et de concevoir une politique de dividendes qui équilibre les besoins des parties prenantes avec les impératifs financiers internes.
De plus, un CRM doté de fonctionnalités analytiques avancées peut fournir des informations précieuses sur l’impact potentiel des décisions liées aux dividendes. Par exemple, en segmentant les actionnaires par typologie (investisseurs institutionnels, individuels, long terme ou court terme), l’entreprise peut ajuster sa politique pour répondre de manière différenciée aux attentes de ces différents groupes. Un CRM bien configuré peut également envoyer des alertes en cas de changements dans le comportement ou les attentes des investisseurs, tels que des désinvestissements ou des baisses de participation, permettant à l’entreprise d’intervenir rapidement pour ajuster sa stratégie.
Enfin, l’intégration d’un CRM avec d’autres systèmes, comme des outils de gestion financière ou des plateformes de gouvernance d’entreprise, peut renforcer la coordination entre la politique de dividendes et la stratégie globale de l’entreprise. Par exemple, le CRM pourrait être utilisé pour diffuser des informations claires et cohérentes aux actionnaires après l’annonce d’une décision sur les dividendes, réduisant ainsi les malentendus ou la frustration.
Conclusion
Le risque lié à une mauvaise politique de dividendes est particulièrement critique pour les entreprises ayant des actionnaires exigeants ou des besoins de financement concurrents. Bien qu’un CRM ne soit pas un outil de gestion financière à proprement parler, son utilisation stratégique peut contribuer à réduire ce risque en améliorant la gestion des relations avec les investisseurs et en permettant une meilleure anticipation de leurs attentes. Une configuration optimale, combinée à une intégration avec les systèmes financiers, offre une visibilité accrue et favorise des décisions de politique de dividendes qui équilibrent les intérêts des actionnaires et les besoins de l’entreprise.
Comment gagner du temps
avec votre Simple CRM ?
La puissance de l'IA au service de votre entreprise.

Auto saisie des adresses et géolocalisation
Les adresses s'écrivent d'elles-mêmes et la géolocalisation calcule vos trajets et évite les embouteillages.

Détection de clients automatiques par une IA
Une IA capable de détecter des clients potentiels qu'elle propose directement à vos commerciaux.

Rapports intelligents faciles à utiliser
BI, Small et Big Data Mining, Reporting: le tout sans aucune connaissance technique.

Génération automatique des e-mails
Vos e-mails s’écrivent automatiquement, directement dans Outlook, Gmail, Thunderbird…

Reconnaissance et aide vocale
Vous parlez: Simple CRM écrit. Vous lui donnez des ordres: Simple CRM exécute.

Rédaction automatique des documents
Word, Excel ou Power Point rédigent en un clic vos contrats et autres documents.
Associer Simple CRM à vos outils actuels = facilité + productivité

[ En savoir plus sur les connecteurs CRM ]




Bénéficiez d'un financement
pour votre projet de croissance CRM
de 3 à 5 ans
En savoir plus
- Absence de culture d’entreprise forte
- Accidents du travail
- Amendes pour violation des lois anti-corruption
- Attaques DDoS (attaque par déni de service)
- Bad buzz ou campagne négative sur les réseaux sociaux
- Baisse de la demande pour des raisons économiques (récession)
- Barrières à l’entrée sur de nouveaux marchés
- Boycott des produits ou services
- Burnout ou épuisement professionnel des équipes
- Catastrophes naturelles
- Changement brutal dans le secteur d’activité
- Changement des taux d'intérêt
- Changements climatiques affectant l'approvisionnement
- Concurrence agressive (guerre des prix, marketing agressif)
- Conflit d’intérêts au niveau de la direction
- Conflits entre salariés
- Coup d'État
- Crises de l'eau potable
- Crise financière internationale
- Crises diplomatiques influençant le commerce
- Cyberattaques (ransomware, phishing)
- Déception des investisseurs
- Défaillance dans la gestion des droits d’auteur
- Défaillance d'un investisseur
- Défauts de cybersécurité
- Dépendance à un seul gros client
- Dépendance excessive à une technologie particulière
- Dépendance excessive vis-à-vis de fournisseurs uniques
- Désastres liés aux produits chimiques dangereux
- Dévaluation monétaire soudaine
- Diversification excessive
- Dysfonctionnement des équipements
- Échec d’une augmentation de capital
- Échec de l'intégration des nouveaux employés
- Échec de partenariat stratégique
- Épuisement des ressources naturelles
- Erreur de gestion fiscale
- Erreurs dans la gestion des approvisionnements
- Erreurs humaines répétées
- Évènements extrêmes perturbant les chaînes logistiques
- Évolution rapide des préférences des consommateurs
- Failles de sécurité dans les systèmes critiques
- Fluctuation des matières premières
- Fraude interne (malversation, détournement de fonds)
- Fuites ou contamination toxiques
- Fusion-acquisition mal exécutée
- Guerres ou conflits armés
- Harcèlement au travail (moral ou sexuel)
- Hausse des coûts des matières premières due à des conflits
- Hausse du prix des matières premières liées aux crises climatiques
- Imposition de nouvelles taxes sur les importations/exportations
- Incidents de production (pannes, accidents)
- Inflation non anticipée
- Inflation ou hyperinflation
- Infraction à la législation sur la concurrence
- Inondations
- Instabilité politique (changements de gouvernements)
- Instabilité sociale (manifestations, grèves)
- Intégration de nouvelles technologies mal gérée
- Lancement d’un produit non adapté au marché
- Litiges avec des employés (harcèlement, licenciement abusif)
- Litiges avec les fournisseurs
- Logiciels obsolètes
- Malfaçons dans les produits
- Manque de conformité aux réglementations GDPR - RGPD (protection des données)
- Manque de diversité et inclusion
- Manque de formation des opérateurs
- Manque de maintenance préventive
- Manque de mises à jour des systèmes de sécurité
- Manque de vision à long terme
- Mauvaise analyse de la concurrence
- Mauvaise anticipation des tendances du marché
- Mauvaise communication interne
- Mauvaise expansion internationale
- Mauvaise gestion de la marque
- Mauvaise gestion de la relation client
- Mauvaise gestion des brevets ou marques déposées
- Mauvaise gestion des contrats
- Mauvaise gestion des crédits clients
- Mauvaise gestion des liquidités
- Mauvaise gestion des plaintes clients
- Mauvaise gestion des relations avec les parties prenantes
- Mauvaise gestion des talents
- Mauvaise gestion des transports
- Mauvaise gestion de l'intelligence artificielle
- Mauvaise gestion de l'infrastructure cloud
- Mauvaise planification des ressources
- Mauvaise politique de dividendes
- Mauvaise prévision des flux de trésorerie
- Mauvaise prise de décision stratégique
- Mauvais remboursement des créances
- Nationalisations dans certains pays
- Non-adaptation à l’évolution des besoins des clients
- Non-adaptation aux nouveaux modes de consommation (digitalisation)
- Non-conformité aux normes de sécurité au travail
- Non-conformité avec les normes d’hygiène et de sécurité
- Non-respect des délais de production
- Non-respect des normes environnementales
- Non-respect des obligations de santé et sécurité au travail
- Non-respect des réglementations locales/internationales
- Non-transparence des actions de l’entreprise
- Pandémies (comme la COVID-19)
- Pannes de systèmes informatiques
- Perte de clients majeurs
- Perte de collaborateurs clés
- Perte de confiance des clients
- Perte de la confidentialité des informations clients
- Perte de parts de marché
- Pertes de données non sauvegardées
- Pertes en bourse
- Piratage de données sensibles
- Plainte pour violation de la propriété intellectuelle
- Pollution environnementale causée par l'entreprise
- Poursuites judiciaires (litiges commerciaux)
- Pression des parties prenantes pour plus d'actions écologiques
- Problèmes de compatibilité entre systèmes
- Problèmes éthiques dans la gestion de la relation client
- Produits défectueux sur le marché
- Publicité mensongère
- Recours à des emprunts toxiques (prêts à taux variable, etc.)
- Recrutement inadéquat
- Réputation ternie par des pratiques non durables
- Restrictions à la mobilité internationale
- Retard dans le dépôt des documents légaux
- Retards dans les livraisons
- RH qui résiste au changement
- Risque de canibalisation des ventes
- Risque de change (pour les entreprises internationales)
- Risque de mise en faillite
- Risque de rupture technologique (disruption du secteur)
- Risque d’insatisfaction des clients
- Risque d’obsolescence des compétences clés
- Mauvaise gestion des stocks
- Risques liés à l’externalisation excessive de la production
- Risques liés aux cryptomonnaies
- Sanctions économiques (embargos, restrictions commerciales)
- Saturation du marché
- Scandale public (fraude, scandale moral, etc.)
- Séismes
- Surcharge de travail des équipes
- Surendettement
- Tempêtes, ouragans
- Turnover élevé
- Utilisation de technologies non certifiées
- Utilisation inappropriée des équipements
- Variation des taux de change
- Virus informatique ou malware
- Volatilité des marchés financiers
- Volonté excessive de maximisation des profits à court terme