Nationalisations dans certains pays : un risque géopolitique et macroéconomique
SWOT : Risques géopolitiques et macroéconomiques
Nationalisations dans certains pays
Définition du risque et profils d’entreprises concernés
Le risque de nationalisation fait référence à la prise de contrôle d'une entreprise privée par un gouvernement d'un pays où cette entreprise opère. Cela peut se traduire par la réquisition d'actifs, l'expropriation de parts de l'entreprise ou l’obligation de transférer la propriété à l’État. Ce risque survient généralement dans des contextes où un gouvernement cherche à augmenter son contrôle sur des secteurs stratégiques tels que les ressources naturelles, l’énergie, les infrastructures, ou même certains secteurs financiers. Les nationalisations sont souvent décidées en réponse à des crises économiques, des changements de politique ou des pressions sociales.
Les entreprises ayant des opérations dans des pays politiquement instables ou dans des secteurs sensibles aux politiques publiques sont particulièrement vulnérables à ce risque. Il s’agit par exemple des entreprises des secteurs minier, pétrolier, énergétique, ou de l’industrie des infrastructures. Les multinationales présentes dans des pays émergents ou en développement, où les politiques économiques peuvent fluctuer rapidement, sont également exposées à ce type de risque. De même, les entreprises ayant des investissements significatifs dans des pays où les relations entre le gouvernement et les investisseurs étrangers sont tendues doivent prendre en compte ce risque dans leur stratégie d'affaires.
Impact de la configuration et de l’utilisation d’un CRM sur le risque
Le CRM, ou logiciel de gestion de la relation client, n’a pas une fonction directe de prévention des nationalisations, mais sa configuration et son utilisation peuvent jouer un rôle important dans la gestion des risques associés à ce phénomène. Un CRM mal configuré, ne tenant pas compte des aspects géopolitiques et des évolutions des relations gouvernementales dans les pays où l'entreprise est présente, pourrait limiter la capacité de l'entreprise à identifier les signes précoces de nationalisation ou de pressions politiques. Si un CRM ne contient pas d'informations pertinentes sur les réglementations locales, les changements de politique ou les initiatives gouvernementales dans des secteurs stratégiques, cela peut rendre difficile l'anticipation de tels risques.
Cependant, une configuration adéquate et une utilisation efficace du CRM permettent à l'entreprise de mieux suivre l'évolution des risques géopolitiques et macroéconomiques. Par exemple, un CRM bien configuré peut intégrer des alertes et des suivis des politiques économiques et des évolutions gouvernementales dans les pays où l'entreprise est active. En centralisant les informations sur les relations avec les parties prenantes, telles que les gouvernements, les clients, les partenaires commerciaux ou les associations industrielles locales, un CRM peut offrir une visibilité accrue sur les dynamiques politiques et les risques associés.
Contrôle du risque grâce au CRM
Une fois que le risque de nationalisation se présente, un logiciel CRM bien utilisé peut devenir un outil stratégique pour mieux contrôler ce risque. L’un des principaux avantages d’un CRM est sa capacité à centraliser toutes les informations relatives à l’entreprise et à ses relations commerciales. Cela permet à l'entreprise de suivre de près ses investissements et de surveiller l'évolution de la législation et des politiques gouvernementales dans les pays où elle opère. Une gestion proactive des informations sur les relations gouvernementales et sectorielles, intégrée dans un CRM, peut permettre d'identifier rapidement si un pays prend des mesures pour renforcer le contrôle étatique sur des secteurs d'activité spécifiques.
Dans un tel contexte, un CRM peut aider l’entreprise à adopter une stratégie d’adaptation plus rapide et plus informée. Par exemple, si des signaux de nationalisation sont identifiés, l’entreprise peut rapidement reconfigurer ses activités locales en s'appuyant sur les données relatives aux contrats, aux partenaires et aux obligations légales, et ainsi réduire l’impact d’une expropriation ou d’une prise de contrôle. Cela peut se traduire par la préparation de plans de sortie ou de restructuration pour minimiser les pertes financières et de réputation.
De plus, un CRM bien conçu permet une communication fluide avec les parties prenantes, en particulier avec les clients et les partenaires locaux. Si un processus de nationalisation débute dans un pays, le CRM permet à l’entreprise de garder une relation claire et transparente avec ses clients et partenaires, en les informant de manière proactive des changements potentiels dans les services ou les conditions d'opération. Cette gestion de la relation peut aider à préserver la confiance et à atténuer les impacts négatifs sur la réputation de l'entreprise, même si la situation se détériore.
Enfin, le CRM peut également jouer un rôle dans la diversification des risques. En utilisant les informations contenues dans le système pour identifier de nouveaux marchés ou partenaires moins exposés à des risques de nationalisation, l’entreprise peut mieux répartir ses investissements et ses ressources. Cela permet à l’entreprise de réduire sa dépendance à une seule région ou à un seul marché, tout en optimisant ses opérations dans des zones plus stables sur le plan géopolitique.
Conclusion
Le risque de nationalisation dans certains pays est un facteur géopolitique important pour les entreprises opérant à l’international, en particulier dans les secteurs stratégiques et dans des pays politiquement instables. Bien qu'un CRM ne puisse pas éliminer ce risque, sa configuration et son utilisation appropriées peuvent permettre à une entreprise de mieux anticiper ce type de phénomène, d’adapter ses stratégies d'investissement et de gestion des relations, et de minimiser les impacts négatifs d'une nationalisation. Grâce à une centralisation des informations et à des outils de suivi des évolutions politiques, le CRM devient un atout stratégique pour naviguer dans un environnement mondial de plus en plus complexe et incertain.
Comment gagner du temps
avec votre Simple CRM ?
La puissance de l'IA au service de votre entreprise.

Auto saisie des adresses et géolocalisation
Les adresses s'écrivent d'elles-mêmes et la géolocalisation calcule vos trajets et évite les embouteillages.

Détection de clients automatiques par une IA
Une IA capable de détecter des clients potentiels qu'elle propose directement à vos commerciaux.

Rapports intelligents faciles à utiliser
BI, Small et Big Data Mining, Reporting: le tout sans aucune connaissance technique.

Génération automatique des e-mails
Vos e-mails s’écrivent automatiquement, directement dans Outlook, Gmail, Thunderbird…

Reconnaissance et aide vocale
Vous parlez: Simple CRM écrit. Vous lui donnez des ordres: Simple CRM exécute.

Rédaction automatique des documents
Word, Excel ou Power Point rédigent en un clic vos contrats et autres documents.
Associer Simple CRM à vos outils actuels = facilité + productivité

[ En savoir plus sur les connecteurs CRM ]




Bénéficiez d'un financement
pour votre projet de croissance CRM
de 3 à 5 ans
En savoir plus
- Absence de culture d’entreprise forte
- Accidents du travail
- Amendes pour violation des lois anti-corruption
- Attaques DDoS (attaque par déni de service)
- Bad buzz ou campagne négative sur les réseaux sociaux
- Baisse de la demande pour des raisons économiques (récession)
- Barrières à l’entrée sur de nouveaux marchés
- Boycott des produits ou services
- Burnout ou épuisement professionnel des équipes
- Catastrophes naturelles
- Changement brutal dans le secteur d’activité
- Changement des taux d'intérêt
- Changements climatiques affectant l'approvisionnement
- Concurrence agressive (guerre des prix, marketing agressif)
- Conflit d’intérêts au niveau de la direction
- Conflits entre salariés
- Coup d'État
- Crises de l'eau potable
- Crise financière internationale
- Crises diplomatiques influençant le commerce
- Cyberattaques (ransomware, phishing)
- Déception des investisseurs
- Défaillance dans la gestion des droits d’auteur
- Défaillance d'un investisseur
- Défauts de cybersécurité
- Dépendance à un seul gros client
- Dépendance excessive à une technologie particulière
- Dépendance excessive vis-à-vis de fournisseurs uniques
- Désastres liés aux produits chimiques dangereux
- Dévaluation monétaire soudaine
- Diversification excessive
- Dysfonctionnement des équipements
- Échec d’une augmentation de capital
- Échec de l'intégration des nouveaux employés
- Échec de partenariat stratégique
- Épuisement des ressources naturelles
- Erreur de gestion fiscale
- Erreurs dans la gestion des approvisionnements
- Erreurs humaines répétées
- Évènements extrêmes perturbant les chaînes logistiques
- Évolution rapide des préférences des consommateurs
- Failles de sécurité dans les systèmes critiques
- Fluctuation des matières premières
- Fraude interne (malversation, détournement de fonds)
- Fuites ou contamination toxiques
- Fusion-acquisition mal exécutée
- Guerres ou conflits armés
- Harcèlement au travail (moral ou sexuel)
- Hausse des coûts des matières premières due à des conflits
- Hausse du prix des matières premières liées aux crises climatiques
- Imposition de nouvelles taxes sur les importations/exportations
- Incidents de production (pannes, accidents)
- Inflation non anticipée
- Inflation ou hyperinflation
- Infraction à la législation sur la concurrence
- Inondations
- Instabilité politique (changements de gouvernements)
- Instabilité sociale (manifestations, grèves)
- Intégration de nouvelles technologies mal gérée
- Lancement d’un produit non adapté au marché
- Litiges avec des employés (harcèlement, licenciement abusif)
- Litiges avec les fournisseurs
- Logiciels obsolètes
- Malfaçons dans les produits
- Manque de conformité aux réglementations GDPR - RGPD (protection des données)
- Manque de diversité et inclusion
- Manque de formation des opérateurs
- Manque de maintenance préventive
- Manque de mises à jour des systèmes de sécurité
- Manque de vision à long terme
- Mauvaise analyse de la concurrence
- Mauvaise anticipation des tendances du marché
- Mauvaise communication interne
- Mauvaise expansion internationale
- Mauvaise gestion de la marque
- Mauvaise gestion de la relation client
- Mauvaise gestion des brevets ou marques déposées
- Mauvaise gestion des contrats
- Mauvaise gestion des crédits clients
- Mauvaise gestion des liquidités
- Mauvaise gestion des plaintes clients
- Mauvaise gestion des relations avec les parties prenantes
- Mauvaise gestion des talents
- Mauvaise gestion des transports
- Mauvaise gestion de l'intelligence artificielle
- Mauvaise gestion de l'infrastructure cloud
- Mauvaise planification des ressources
- Mauvaise politique de dividendes
- Mauvaise prévision des flux de trésorerie
- Mauvaise prise de décision stratégique
- Mauvais remboursement des créances
- Nationalisations dans certains pays
- Non-adaptation à l’évolution des besoins des clients
- Non-adaptation aux nouveaux modes de consommation (digitalisation)
- Non-conformité aux normes de sécurité au travail
- Non-conformité avec les normes d’hygiène et de sécurité
- Non-respect des délais de production
- Non-respect des normes environnementales
- Non-respect des obligations de santé et sécurité au travail
- Non-respect des réglementations locales/internationales
- Non-transparence des actions de l’entreprise
- Pandémies (comme la COVID-19)
- Pannes de systèmes informatiques
- Perte de clients majeurs
- Perte de collaborateurs clés
- Perte de confiance des clients
- Perte de la confidentialité des informations clients
- Perte de parts de marché
- Pertes de données non sauvegardées
- Pertes en bourse
- Piratage de données sensibles
- Plainte pour violation de la propriété intellectuelle
- Pollution environnementale causée par l'entreprise
- Poursuites judiciaires (litiges commerciaux)
- Pression des parties prenantes pour plus d'actions écologiques
- Problèmes de compatibilité entre systèmes
- Problèmes éthiques dans la gestion de la relation client
- Produits défectueux sur le marché
- Publicité mensongère
- Recours à des emprunts toxiques (prêts à taux variable, etc.)
- Recrutement inadéquat
- Réputation ternie par des pratiques non durables
- Restrictions à la mobilité internationale
- Retard dans le dépôt des documents légaux
- Retards dans les livraisons
- RH qui résiste au changement
- Risque de canibalisation des ventes
- Risque de change (pour les entreprises internationales)
- Risque de mise en faillite
- Risque de rupture technologique (disruption du secteur)
- Risque d’insatisfaction des clients
- Risque d’obsolescence des compétences clés
- Mauvaise gestion des stocks
- Risques liés à l’externalisation excessive de la production
- Risques liés aux cryptomonnaies
- Sanctions économiques (embargos, restrictions commerciales)
- Saturation du marché
- Scandale public (fraude, scandale moral, etc.)
- Séismes
- Surcharge de travail des équipes
- Surendettement
- Tempêtes, ouragans
- Turnover élevé
- Utilisation de technologies non certifiées
- Utilisation inappropriée des équipements
- Variation des taux de change
- Virus informatique ou malware
- Volatilité des marchés financiers
- Volonté excessive de maximisation des profits à court terme